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Savez-vous que la moitié des couples mariés ont vocation à divorcer un jour. Selon les chiffres des dernières études menées par l’INSEE, il y a eu plus de 130 000 cas de séparation l’année dernière et il semblerait que dans la majeure partie des cas, la demande se fasse par consentement mutuel. D’ailleurs, depuis la dernière réforme législative qui est venue placer cette procédure dans un cadre extrajudiciaire, les formalités ont été largement allégées.
Des motifs de séparation très variés
Dans la majorité des cas, la séparation se fait à cause d’une infidélité de l’un ou des deux époux. Ensuite, c’est le manque de soutien ou d’affection qui est à l’origine de cette décision. L’incompatibilité de caractères ou les comportements abusifs sont souvent rapportés chez les avocats tout comme les désaccords concernant l’avenir. En dernier lieu, on trouve les questions d’argent et les problèmes avec les beaux-parents.
Des divorces à l’amiable
La moitié des demandes de divorce en France se font par consentement mutuel. Ce chiffre a vocation à augmenter avec le temps. C’est pour cette raison que le législateur est venu placer cette procédure en dehors du cadre judiciaire. Aujourd’hui, pour un divorce à l’amiable, nous n’avons plus besoin d’une décision du juge. Il suffit que les époux soient représentés respectivement d’un avocat et qu’ils signent une convention de séparation. Or, à Paris, il est très facile de trouver un cabinet d’avocats spécialisés dans le divorce à Paris pour gérer le dossier.
Qu’est-ce que la convention de séparation ?
Il s’agit d’un accord de volonté, un contrat rédigé entre les époux qui organise les conséquences juridiques du divorce. Il doit être établi et signé en présence des avocats et contient les modalités de séparation du couple, de partage des biens ainsi que de garde des enfants. C’est dans ce document que sera fixé notamment le montant de la pension alimentaire et de la prestation compensatoire. Pour être valable, elle devra être authentifiée chez le notaire.